- La révolution de l'abonnement pour les couches de bébé
- La couche-culotte, un accompagnement essentiel vers l'autonomie
- 4 astuces pour aider votre enfant à passer sur le pot
Chaque parent le sait, de nombreux apprentissages et découvertes attendent nos bébés et nos enfants. Découverte du corps pour se retourner, ramper, marcher…, de la préhension pour tenir son biberon, sa petite cuillère, ses jouets…, de la parole progressivement, mais aussi apprentissage de la propreté.
Pour autant, avant de s’installer sur son petit pot, ou de grimper sur les toilettes grâce à son marchepied et avec un réducteur de lunette, bébé a besoin de couches, de beaucoup de couches. Au cours des deux ou trois premières années de sa vie, vous le changerez (très) souvent pour un total de couches que vous renoncerez rapidement à chiffrer.
La bonne nouvelle est que les jeunes parents aujourd’hui ont un énorme avantage sur ceux d’hier, deux avantages même. Non seulement les couches n’ont plus besoin d’être lavées (sauf par choix), mais elles peuvent être livrées directement à la maison, par paquets conditionnés en taille et en nombre. C’est la révolution des couches de bébé par abonnement et c’est notamment la grande force de la marque Little Big Change (LBC) pour les intimes. Des changes envoyés automatiquement, assortis d’une gamme de soins lavants très doux pour bébé.
La révolution de l’abonnement pour les couches de bébé
900 jours, c’est le temps moyen durant lequel votre petit va porter des couches. Ramené en années, le chiffre se transforme en un tout petit peu moins de 2 ans et demi. C’est long et ça fait beaucoup de couches qu’il faut penser à acheter.
Un rapide calcul avec une moyenne de 5 couches par jour pendant 900 jours donc, amène à environ 4 500 couches avec tout ce que comporte ce chiffre vertigineux d’oublis et de ratés. Pourtant, quand il est essentiel, autant avoir le matériel nécessaire toujours à portée de main.
C’est là que l’abonnement intervient ! Chez Little Big Change, vous pouvez donc choisir :
- La taille des couches,
- la première date de livraison,
- la fréquence de livraison.
Finis les dimanches sans couches alors que le supermarché est fermé, finie la fin de stock alors qu’il vous faut justement plein de couches pour un long trajet… en bref finies les pénuries. Vous recevez, directement à la maison, le nombre suffisant de couches à la bonne taille et ce, grâce à un abonnement 100 % flexible, 100 % adapté à votre enfant.
Des couches saines pour tous les bébés
900 jours, c’est aussi un nombre fantastique d’heures enfermées pour les fesses de bébé. Heureusement, les marques ont pris conscience qu’il était plus que temps de proposer des couches saines et écoresponsables aux familles.
Et hop, elles ont donné naissance à des changes sans substances nocives conçus à partir de matières soigneusement sélectionnées, tout comme nos biberons silicone Elhée.
La couche-culotte, un accompagnement essentiel vers l’autonomie
Comme il n’y a pas d’âge pour être propre, il n’y a pas non plus d’âge recommandé pour utiliser des couches-culottes. Elles deviennent quand même plus intéressantes quand bébé commence sérieusement à se tortiller sur sa table à langer. Ses coups de pied enthousiastes vous manquent de peu. Fixer la couche tout en gardant une main sur lui devient un véritable défi. Une fois sur deux, le système de fixation n’est pas correctement attaché ou au contraire, beaucoup trop serré. Aucun doute, il est temps pour vous et surtout pour votre enfant de passer aux couches-culottes.
La principale différence qui fait tout l’intérêt de ce sous-vêtement jetable pour bébé ? Une large ceinture élastique douce et souple, pour un bon maintien de la couche-culotte et un grand confort de mouvement, un enfilage facile et un retrait rapide grâce à sa matière déchirable. Plus que tout autre, la couche-culotte peut être facilement mise et enlevée, remise et enlevée [vous avez compris] par bébé lui-même lorsqu’il se décide à faire ses premiers essais sur le pot.
L’apprentissage de la propreté, une étape parfois compliquée
Pour certains enfants, et donc pour leurs heureux parents, la transition vers la propreté n’a rien de simple. Inquiétudes face à ce drôle d’outil qu’est le pot ou au passage sur les toilettes, mais aussi angoisse d’un processus [faire pipi ou faire caca] qui, d’un seul coup, n’est plus caché dans la couche… apprendre à aller aux toilettes tout seul n’est pas facile.
Aux alentours de 24 mois, parfois avant, parfois après, mais quoi qu’il en soit pendant des semaines qui peuvent sembler longues, la situation peut être compliquée et aboutir à des pleurs plus ou moins systématiques, surtout au moment d’aller à la selle. Quel parent n’a jamais passé un moment à essayer de détourner l’attention de son petit ou de le calmer, en lui racontant une histoire, lui chantant une chanson, lui faisant un spectacle de marionnettes ou même en regardant avec lui, un petit dessin animé !
À noter : Un apprentissage de la propreté débuté trop tôt peut conduire à des rétentions, entraîner une constipation ou des soucis urinaires. Patience et stock de couches sont finalement, les meilleurs atouts !
Bébé est prêt pour devenir propre : les signes à repérer
S’il n’existe pas de règles en matière de propreté des enfants, faire confiance et agir naturellement pourrait en être une. Avant tout, rassurez-vous ! Même s’il adore ses couches-culottes, votre enfant ne les gardera pas toute sa vie. Soyez patients, il est même probable qu’il s’en lasse avant vous. Comme toujours, c’est en l’observant que vous en apprendrez le plus.
- De plus en plus souvent, bébé vous prévient quand sa couche est sale.
- Il fait la différence entre pipi et caca
- Il est agité au moment de remplir sa couche et cherche peut-être à se cacher.
- Il anticipe ses besoins et vous fait comprendre qu’il doit aller aux toilettes.
Si toutes ces conditions sont réunies, vous pouvez entamer sereinement l’apprentissage de la propreté. C’est parti…
Se donner du temps et recommencer
… Ou pas. Comme pour tout apprentissage et ce tout au long de la vie, il peut y avoir des hauts et des bas, des moments plus faciles et d’autres, plus difficiles, avec parfois même, des retours en arrière. Bébé a fait pipi une fois sur le pot et ne veut plus y retourner ? Pas de panique ! Laissez l’objet de sa contrariété bien en évidence et c’est reparti pour quelques jours ou semaines de couches avant de retenter l’expérience. On parle, encore une fois, de l’importance d’avoir du stock.
Durant cette petite pause, pour l’inciter ou pour le « challenger » comme on dit, montrez-lui l’exemple en misant sur l’effet du mimétisme. À la maison par exemple, laissez la porte ouverte quand vous allez faire pipi. Il existe d’ailleurs une légende qui voudrait que les mamans de jeunes enfants ne puissent, de toute façon, jamais aller au petit coin toutes seules… Allez savoir !
4 astuces pour aider votre enfant à passer sur le pot
Parce que l’acquisition de la propreté est un grand changement dans la vie de votre enfant, parce que la scolarisation approche — à ce propos, aucun texte de loi n’exige l’autonomie en matière de propreté des enfants en maternelle — et qu’il serait plus confortable pour lui d’aller à l’école sans couche, mais surtout pour une familiarisation en douceur, voici quelques petits trucs qui pourront peut-être l’aider à aller tout seul sur le pot
- Choisissez le pot ou le réducteur avec lui ou avec elle, il n’aura que plus envie de l’utiliser,
- au départ, laissez votre enfant s’installer dans le coin de la maison qu’il aura choisi, cela lui permet de créer plus facilement une zone intimité,
- utilisez des couches-culottes pour plus de facilité et de rapidité quand le pipi arrive et déjà, pour un grand pas vers l’autonomie.
Enfin quoiqu’il arrive [et même s’il fait pipi sur le parquet ciré], restez cool, c’est la clé !